Chủ Nhật, 2 tháng 11, 2014

1919 -1929 Dalat

Dalat 1919-  L’Association des Amis du Vieux Huế  FONDS ICONOGRAPHIQUE
http://www.aavh.org/index.php?s=dalat&page=7

1947 DALAT MAP






Dalat, 1919 - Le Lac 

Dalat, 1919 - Le Lac -BARRAGE

DANKIA FERME




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Titre : Annam, environs de Dalat, 1919 - Populations montagnardes - Femme moï

Notice : Femme moï (montagnarde) vêtue d’une simple jupe ornée de pompons, vannant son riz avec une hotte en bambou tressé, devant une longue case couverte de chaume. A noter la parure de cette femme : jambières et bracelets en fils de cuivre, longs colliers de perles de verre et bagues, gros bouchons de bambou ou d’ivoire en guise de boucles d’oreilles. Les Moï qui habitaient la région de Dalat appartiennent au sous-groupe des Mnong, rattaché au groupe linguistique des austro-asiatiques. Cette photo, ainsi que d’autres représentant des Moï, a sans doute été prise pendant un séjour du docteur Sallet à Dalat, en l919. Elle est contemporaine d’autres photos représentant des vues de Dalat et de ses environs. Notule : Minorités ethniques du Sud-indochinois - Moï Les "Hauts Plateaux" désignent les provinces de l’intérieur de l’Annam, Kontum, Darlac et Haut-Donnaï, peuplées principalement de populations moins avancées, les montagnards du Sud-indochinois, auxquels Georges Condominas a réservé l’appellation de "proto-indochinois". Cette appellation est préférable à celle de Moï, terme extrêmement péjoratif voulant dire "sauvage". En effet aux yeux des Vietnamiens et des occidentaux, les Moï étaient perçus comme des "hommes ayant pour tout vêtement une ceinture-tablier (ou des femmes aux beaux seins nus, vêtues d’une simple jupe), pipe au bec, coiffés d’un chignon, portant une hotte dorsale et un coupe-coupe au manche courbé reposant sur l’épaule". Ce cliché, qui s’attache à tous les proto-indochinois, vient principalement de leurs costumes et des outils qu’ils portent habituellement dans leurs déplacements ; autrement dit de leur culture matérielle. De simplement teintée d’exotisme, l’image que colportent les sédentaires, tant européens qu’asiatiques, sombre alors dans la réprobation. Car pour eux, les montagnards sont affectés d’une véritable tare, le nomadisme avec, comme circonstance aggravante, la réputation de destructeurs de forêts. On connaît la source de ce double jugement négatif : l’essartage. En effet, de la culture sèche itinérante sur brûlis avec longue friche forestière, on retient la non permanence des champs cultivés. Certes, le nomadisme ne constitue pas en soi un défaut et n’est répréhensible qu’aux yeux des sédentaires". (D’après G. Condominas in "Montagnards des pays d’Indochine dans les collections du Musée de l’homme" Boulogne-Billancourt. 1995) Ces proto-indochinois, ou Moï (que l’on désignait, vers 1950, sous l’appellation de "pemsiens", de l’abréviation PMSI, populations montagnardes du sud-indochinois) appartiennent à deux grands groupes ethno-linguistiques : les austro-asiatiques, ou môn-khmer, autochtones dans l’Asie du sud-est ; et les austronésiens, qui s’apparentent aux cultures proto-malaises de l’archipel indonésien et aux Cham. Géographiquement, le groupe des austro-asiatiques comporte deux ensembles distincts séparés par le groupe des austronésiens. Les austro-asiatiques méridionaux occupent les hauts plateaux du nord-est de la Cochinchine, du sud de l’Annam et du sud-est du Cambodge, à cheval sur les frontières de ces trois territoires. On dénombre parmi eux de nombreuses tribus, vivant séparées les unes les autres dans les clairières des forêts et pratiquant la culture sur brûlis, ou la riziculture. - les Stieng, des deux côtés de la frontière de la Cochinchine et du Cambodge ; beaucoup d’entre eux ont été employés comme travailleurs agricoles dans les grandes plantations d’hévéa ; - les Maa et les Sré, riziculteurs et planteurs de thé, habitent les hauts plateaux de la région de Djiring ; - les Mnong et les Gar occupent la région de Dalat et du Lang Bian. Les austro-asiatiques septentrionaux occupent les hauts plateaux du centre, de part et d’autre de la frontière de l’Annam et du Laos. Ils se subdivisent en nombreuses tribus qui ont une réputation de chasseurs et de guerriers intrépides. Les derniers "insoumis" se sont recrutés parmi eux. Du nord au sud, où peut distinguer : - les Kha Tu et les Jeh, entre Tourane et le Laos ; - les Sédang, dans la région de Dac To ; - les Bahnar dans la région de Pleiku et de Kontum. Entre ces deux groupes, les austronésiens occupent hautes vallées des rivières qui descendent de la chaîne annamitique vers la vallée du Mékong et vers la mer de Chine. Les deux groupements les plus importants sont : - les Jarai, au nord du plateau du Darlac ; - les Rhadé, dans la région de Ban Me Thuot. (Comité de Rédaction) Sur les Kha Tu, voir AP0023. Sur les Mnong et les Maa et l’essartage, voir AP0100. Sur les Stieng, voir AP0365. Sur les Jarai et les Rhadé, voir AP0617.
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Groupe de Moï à l'étape

Notice : Cette photo, prise vraisemblablement dans la région de Dalat montre un groupe de montagnards et de montagnardes arrêtés par le photographe pour un pause. Les femmes sont debout vêtues d’une simple jupe et les hommes sont assis. Ils ont déposé leurs hottes et leurs instruments sur le sol. Cette photo, ainsi que d’autres, représentant des Moï, ont sans doute été prises pendant un séjour du docteur Sallet à Dalat, en 1919. Elle est contemporaine d’autres photos représentant des vues de Dalat et de ses environs. Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir A0003. Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Moï porteur de hotte

Notice : Photo sans doute prise pendant le séjour du docteur Sallet à Dalat, en 1919. Dans la région de Dalat, un montagnard s’est arrêté pour se reposer et admirer le paysage de collines à la végétation rare. Il a conservé sa lourde hotte sur le dos en la faisant reposer sur un bâton pour le soulager. Ce sont ces bâtons que l’on voit dans la photo AP0099 auprès des bagages du groupe. Notule : Mnong et Maa - Minorités du sud-indochinois - L’essartage Les Mnong occupent les hauts plateaux à cheval sur les frontières du Cambodge, du sud de l’Annam et du nord-est de la Cochinchine, autour de la région appelée des "trois frontières". La limite septentrionale de leur habitat passe au sud de Ban Me Thuot où ils sont en contact avec des montagnards austronésiens, les Jarai. Au Cambodge, où ils sont répandus dans les provinces du Mondolkiri et du Rattanakiri, ils sont dénommés Phnong. Les Maa sont séparés des Mnong par les Koho du plateau de Fyang, une tribu apparentée de riziculteurs. Mnong et Maa occupent une succession de plateaux et de collines qui s’étagent jusqu’au versant tombant abruptement sur les petites plaines côtières du Centre. C’est la région de la haute forêt plus ou moins dégradée et Mnong et Maa sont les "hommes de la forêt et de l’essartage". L’essartage se pratique de la façon suivante : - au coeur de la saison sèche, on abat tous les arbres et arbustes d’un terrain choisi au préalable et on les laisse sécher au soleil pendant environ un mois. - à l’approche de la saison des pluies, on incendie les abatis, après avoir aménagé des pare-feu tout autour de la zone concernée et après avoir exécuté les rites agraires appropriés. On brûle soigneusement les troncs et les souches qui n’ont pas été entièrement calcinés et on étale les cendres qui vont servir d’engrais et enrichir le sol. - on procède alors aux semailles ; les hommes s’avancent sur le champ et percent le sol avec deux piquets pointus qu’ils tiennent dans chaque main tandis que les femmes qui les suivent, déposent quelques semences dans chaque trou. - pendant la saison des pluies, il faut procéder à des sarclages répétés pour éviter la prolifération des mauvaises herbes. Une récolte de riz précoce permet d’assurer la soudure. - la moisson du paddy "mère" a lieu enfin après une nouvelle et très importante cérémonie rituelle qui constitue une action de grâces envers les génies qui ont protégé tous les travaux agricoles et permis de riches récoltes Au bout de quelques années, quand la fertilité de ce terrain enrichi par les cendres végétales est épuisée, on se déplace pour mettre en valeur de la même façon une autre partie de la forêt. Mais les montagnards prennent grand soin de laisser la forêt se régénérer et l’humus se reconstituer. Ces "Ray" ont un rendement nettement supérieur à celui des rizières de montagne irriguées. De plus la culture du riz y est associée à la production de légumes et de fruits ainsi qu’à la culture de cotonniers et d’indigotiers. Les déplacements des cultures servent de calendriers aux montagnards et ils parlent de "l’année où ils ont mangé la forêt" de tel ou tel endroit. A côté de ces "hommes de la forêt et de l’essartage", sur les plateaux les plus élevés, vivent des populations très proches par la langue et par le mode de vie mais qui pratiquent la culture dans des rizières qu’ils labourent selon des techniques qu’ils disent avoir héritées des Cham. Ce sont en particulier les Lac, de la région de Dalat et les Sré de la région de Djiring. Le vocable "Sré" signifie d’ailleurs "rizière irriguée". Les montagnards de cette région sont passés maîtres dans l’art de la vannerie (voir AP0003). Dans chaque foyer, les hommes fabriquent eux-mêmes les paniers, hottes et vans dont la famille a besoin. De même trouve-t-on dans chaque foyer un métier à tisser de type "océanien" à un rang de lisse, un rouet et une égreneuse à coton. Ces instruments sont utilisés par les femmes et permettent de vêtir tous les habitants de la "grande maison". Certaines tisseuses confectionnent des pièces, jupes, ceintures-tabliers, couvertures qui sont de vrais chefs-d’oeuvre richement colorés en indigo et en rouge chez les Mnong, tandis que les Maa préfèrent le blanc. La réputation de ces artistes dépasse nettement le cadre de leur village et permet des échanges avec les villages voisins et même un commerce avec les villes environnantes. Par ailleurs toutes ces populations attachent une très grande importance à la parure corporelle. Hommes et femmes ornent leur coiffure de peignes, de plumes de couleur et de pompons de coton rouge. Dans certaines tribus, on casse les incisives de la mâchoire supérieure et on taille en pointe celles de la mâchoire inférieure, puis on laque de noir toute la dentition, "pour ne pas ressembler au buffle". (D’après Georges Condominas, in "Montagnards des pays d’Indochine") Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir AP0003.
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Moï et sa hotte

Notice : Dans la région de Dalat un montagnard a posé auprès de lui les lourdes hottes qu’il portait. Sur son épaule, il tient une hache au long manche en rotin courbe et, à son côté, un coupe-coupe est passé dans sa ceinture. Cette photo, ainsi que d’autres, représentant des Moï, ont sans doute été prises pendant un séjour du docteur Sallet à Dalat, en 1919. Elle est contemporaine d’autres photos représentant des vues de Dalat et de ses environs. Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir A0003.
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Titre : Annam, Dalat, 1919 - Le Lac 

Notice : Le plateau du Lang Bian où est située la ville de Dalat fut visité en 1897 par le docteur Yersin, à la recherche d'un emplacement pour y installer une station d'altitude. Le projet fut accepté par Paul Doumer et la station finalement créée par le gouverneur général Roume en 1917. Lorsque cette photo fut prise, elle n'avait encore que quelques années d'existence, ce qui explique la rareté des constructions qu'on peut apercevoir . Cette photo est prise de la colline où sera construit plus tard le Lang Bian Palace. Elle domine le lac créé par un petit barrage hydroélectrique sur la rivière Cam Ly. Au bord du lac des Soupirs, baptisé ultérieurement Lac Lamartine, sera construit le club nautique de Dalat, " la Grenouillère ", à peu près à l'emplacement des constructions que l'on voit au centre de la photo. Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
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Titre : Annam, Dalat, 1919 - Collines et villas

Notice : Vue du Dalat de l’époque : quelques rares maisons dispersées sur les collines, quelques arbres encore jeunes, l’amorce d’une station qui sera plus tard fréquentée par de nombreux estivants en quête de fraîcheur, venus principalement de Cochinchine. Sur la ville de Dalat, voir AP3503. Notule : Stations d’altitude de l’Indochine Les principales stations d’altitude de l’Indochine, parfois qualifiées de "sanatoriums" où les familles d’occidentaux venaient chercher un peu de fraîcheur et fuir les chaleurs excessives, étaient les suivantes : Au Tonkin : - La Cascade d’Argent sur le Tam Dao, à 930 un d’altitude, près de Vinh Yen et à 84 km de Hanoï. Fréquenté par les familles du Tonkin. - Cha Pa dans les "Alpes tonkinoises", à 1500 m d’altitude et à 38 km de Lao Kay et de la gare des chemins de fer duYunnan. - Mau Son, à 1400 m d’altitude et à 29 km de Lang Son, près de la frontière chinoise. En Annam : - Ba Na à 1400 m d’altitude et à 44 km de Tourane ; station fréquentée par les habitants de Hué et de Tourane. - Bach Ma à 1400 m d’altitude à mi-chemin entre Tourane et Hué ; fréquenté surtout par les familles de Hué. - Dalat, plateau du Lang Bian à 1475 m d’altitude et à 308 km de Saïgon ; la grande station d’altitude du sud. Au Cambodge : - Bokor (Mont de l’éléphant) à 1960 m d’altitude ; près de Kampot (42 km) et à 190 km de Phnom Penh. Au Laos : - Song Hac - 1100 m - Dans le Mg Phuon, au milieu des forêts de pins. (Comité de Rédaction) Sur le Tam Dao, voir AP3451. Sur Cha Pa, voir AP0842 et 3399. Sur Ba Na, voir AP0253. Sur Bach Ma, voir AP1040. Sur Dalat, voir AP3503. Sur le Bokor, voir AP3143.
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Groupe de Moï

Notice : Populations montagnardes. Groupe de femmes et d'enfants debout devant trois hommes accroupis sur le sol. Les hommes portent des couvertures sur les épaules, l'un d'entre eux fume la pipe. Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir AP0003.
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Tombeau moï

Notice : Photo prise dans les environs de Dalat. La tombe, située en pleine campagne, est recouverte d'un toit de paille avec une ouverture aménagée au centre pour faire passer la nourriture réservée au défunt. " Les Moï se font inhumer (et non incinérer). Le mort, ficelé dans une natte, revêtu de ses plus beaux habits, est mis dans une fosse avec une partie de ses richesses personnelles, un panier de riz à sa tête, un autre à ses pieds. La fosse, une fois comblée, est recouverte de troncs d'arbres, pour que les fauves ne puissent déterrer et dévorer le cadavre. Pendant deux ou trois mois, la veuve et les enfants du mort viennent chaque matin verser un peu de soupe, de riz et d'alcool sur la tombe. Puis on bâtit au-dessus de la fosse un petit abri où séjournera l'âme du mort et l'on fait un festin. Pendant un an encore, on vient, à la fin de chaque nouvelle lune, déposer des offrandes et un repas pour obtenir du mort qu'il ne revienne pas tracasser les vivants. Passé ce délai, on ne s'occupera plus du défunt..." (Antoine Cabaton - Les colonies françaises - L'Indochine. Librairie Renouart - Paris, 1932) Sur Mnong et Maa - Minorités du sud-indochinois - L’essartage, voir AP0100. Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir AP0003.
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http://www.aavh.org/?s=dalat
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Mirador dans un champ

Notice : Une petite cabane en bambou sur pilotis a été construite au milieu d'un champ pour surveiller la récolte et écarter les éventuels prédateurs. Auprès de la cabane, on aperçoit un épouvantail à oiseaux, fait d'un long bambou auquel sont attachées des bandes de tissu qui flottent dans le vent. " Après avoir semé, on construit une palissade autour du champ, composée de branches, de troncs demi-calcinés, d'épines, de manière à empêcher les animaux d'entrer, surtout les cervidés. Les chemins d'accés qui mènent au champ sont fermés par une barrière mobile que l'étranger doit soigneusement remettre derrière lui lorsqu'il passe, s'il veut éviter une histoire qui le fera condamner à une amende d'au moins une jarre d'alccol et un poulet, ainsi qu'au remboursement des dégats causés par sa négligence. Pendant que les plantes croissent, on installe dans les recoins du champ un réseau de cliquettes en bambou reliées par un rotin à un mirador, d'où le guetteur, commodèment installé, les actionne de temps à autre pour effrayer les coqs sauvages et autres oiseaux pillards" (Pierre Bitard : Rites agraires des Kha Braou in BSEI. 1952, 1er trimestre) Sur Mnong et Maa - Minorités du sud-indochinois - L’essartage, voir AP0100.
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Titre : Annam, Dalat, vers 1919 - Plateau du Lang Bian

Notice : Paysage caractéristique du plateau du Lang Bian, avec des collines aux molles ondlations et une végétation de prairies rases. Sur le plateau du Lang Bian et ses voies d’accès, voir AP3895.
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Titre : Annam, environs de Dalat, vers 1919 - Groupe de Moï nomades

Notice : Quatre montagnards, trois hommes et une femme, sont accroupis autour d'un feu avec leurs hottes posées sur le sol auprès d'eux. Ils font sans doute partie d'un convoi dont on voit les charrettes à l'arrière-plan. Cette photo, ainsi que d’autres, représentant des Moï, ont sans doute été prises pendant un séjour du docteur Sallet à Dalat, en 1919. Elle est contemporaine d’autres photos représentant des vues de Dalat et de ses environs. Sur Mnong et Maa - Minorités du sud-indochinois - L’essartage, voir AP0100. Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir AP0003.
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Titre : Annam, Dalat, 1923 - Paysage - Lac et collines

Notice : Paysage typique de Dalat, en bordure du lac des Soupirs, avec en arrière-plan la silhouette des pics du Lang Bian. Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
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Titre : Annam, Dalat, 1923 - Constructions nouvelles

Notice : " Avril est la période où les Saïgonnais montent à Dalat pour se reposer. Le médecin du bord m’y envoie pour me retaper un peu, (NDLR : après l’excessive activité à bord depuis des mois) car la marine y possède un centre. C’est dans un site magnifique que je passe 15 jours à ne rien faire. Les excursions ne manquent pas. Nous prenons comme guides des Moï qui nous pilotent dans les forêts pour nous faire voir leurs "Raï". C’est leurs villages qu’ils installent de façon périodique, en rasant tout un secteur de la forêt. Ils vivent modestement de chasse à l’arc qu’ils manient avec une incroyable précision. Les hommes sont sommairement vêtus d’un "langouti", sorte de courroie passant entre les fesses. Les femmes n’ont qu’une très courte jupe avec bracelets et colliers à profusion. Les cascades ne manquent pas. Un lac, "a Grenouillère", pour les adeptes de pêche et de baignade, n’est pas loin du centre. Du réfectoire, pendant le repas, nous avons la visite de cerfs ou de biches, nullement apeurés, sans compter les poules sauvages et des oiseaux multicolores qui viennent picorer les reliefs du repas. Sur la petite place du marché, nous trouvons, à même le sol, des produits artisanaux que les familles moï viennent vendre : armes, arcs, javelots, flèches empoissonnées, coupe-coupe, dents et peaux de tigre, gris-gris, cornes de buffles et de gaurs. Un concours de beauté est même organisé un dimanche, récompensé de cigarettes, boîtes de lait, chocolats, très appréciés. Nous dégustons les excellentes fraises de Dalat... " (Témoignage de Jean Gauthier, maître mécanicien sur sous-marin, année 1940) Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
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Titre : Annam, 1925 - Groupe d'hommes et de femmes moï

Notice : Groupe de jeunes femmes et de jeunes hommes moï photographiés devant une case montagnarde, vraisemblablement dans la région de Dalat et appartenant sans doute à l’ethnie des Mnong. Les femmes ont la poitrine nue et portent des colliers et de lourdes boucles d’oreille en ivoire. Les hommes sont coiffés d’un turban et portent également des boucles d’oreille en ivoire. Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir AP0003.
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Titre : Annam, Dalat, 1933 - Audience donnée par S.M. Bao Dai

Notice : Photographie de M. Le Grauclaude. La carte porte la légende "Cour d’audience Dalat". Il s’agit sans doute de la cour de la "Pagode Royale" (voir AP0611) de Dalat. Les mandarins provinciaux sont alignés devant le temple, à côté de la panoplie d’armes rituelles. Sur le 3ème voyage de SM. Bao Dai en Annam en 1933, voir AP0608.
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AP0621-Sogny-Marien


AP0621-Sogny-Marien

Titre : Annam, Dalat, 1933 – Concours de beauté

Notice : Photographie de M. Le Grauclaude. Un concours de beauté a été organisé, pour le plus grand plaisir du souverain, parmi les jeunes montagnardes. La carte porte la mention Dalat, mais la photo a peut-être été prise à Ban Me Thuot. Sur le 3ème voyage de SM. Bao Dai en Annam en 1933, voir AP0608.
Mots Clefs : Haut-Donnai Dalat 1933 Minorité ethnique – Rhadé Fêtes et cérémonies Femme



AP0703-Sogny-Marien


AP0703-Sogny-Marien

Titre : Annam, Darlac, 1923 – Mirador rhadé en construction

Notice : Des montagnards de la région de Dalat construisent un mirador, poste de guet en bambou et en paillote pour surveiller leur champ et écarter les animaux prédateurs (voir AP0105). Sur les minorités ethniques du sud-indochinois, voir AP0003. Sur les Jaraï et Rhadé – Minorités du Sud-indochinois, voir AP0617.
Mots Clefs : Annam Darlac Ban Me Thuot 1923 Minorité ethnique – Rhadé

AP1246-Sallet


AP1246-Sallet

Titre : Annam, environs de Dalat, 1920 – Couple de Moï

Notice : Deux femmes montagnardes photographiées dans la région de Dalat, pays des Mnong. Elles portent de nombreux bracelets ronds en guise de boucles d’oreilles qui leur distendent le lobe de l’oreille. L’une d’elle a une curieuse coiffure ronde sur la tête (peut être un panier ?). Sur les minorités ethniques du Sud indochinois, voir 00003. Sur les Mnong et Maa – Minorités du sud-indochinois – L’essartage, voir AP0100.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Environs de Dalat 1920 Minorité ethnique – Mnong


AP1889-Sallet


AP1889-Sallet

Titre : Annam, Dalat, 1922 – Paysage

Notice : Routes et bungalows viennent d’être construits. Sur la ville de Dalat, voir AP3503. Sur le bungalow, voir AP0369.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1922 Route – Rue

AP1890-Sallet


AP1890-Sallet

Titre : Dalat, vers 1922 – Le Lang Bian Palace

Notice : Notule : Dalat – Le Lang Bian Palace  » Le Lang Bian palace a été construit en 1922 pour accueillir des estivants de Saïgon, désireux de fuir la chaleur humide de la Cochinichine. « Posé sur un monticule, tourné vers le lac, il rivalise par sa façade ondulée aux ornements soignés avec les établissements luxueux des centres de villégiature européens » (A. Le Brusq). Albert Londres, dans ses « Visions orientales », en parle de la façon suivante :  » En cette bonne année 1922, Dalat est à la fois tout et rien du tout. Une planche, pour un monsieur qui se noie, c’est le monde entier, cependant ce n’est qu‘un morceau d’arbre mort. Pour le malheureux qui monte de la plaine, les vingt-trois chalets de bois du Lang Biang sont vingt-trois planches de vie, de salut, d’espoir, de résurrection. On les embrasse de toute la force de ses bras. Ces vingt-trois chalets s’étendent sur une longueur de cinq kilomètres. Vous avez vu que Dalat était tout ; vous touchez qu’il n’est rien. Mais juste à la moitié de ces cinq kilomètres s’élève, blanc et neuf…je le mets aux voix. Que peut-il s’élever sur le plateau des tigres et des Moï nus ? Un palace ! Et ce n’est pas plus saugrenu que de rencontrer un Anglais en smoking à la lisière du désert de Gobi ; c’est une conception. D’ailleurs ce palace n’est pas là pour loger les voyageurs, mais pour marquer qu’ici s’élèvera une ville. On a découvert le pôle Nord. On a pris possession de l’endroit. Le palace est le drapeau du premier occupant. Dans vingt ans, ce sera Simla, aujourd’hui, c’est Dalat, et pour l’heure les principaux élégants de Dalat sont les Moïs. Leurs cheveux sont ébouriffés et, dans cette tignasse, ils plantent, quand ils ne fument pas, leur pipe par le tyau. Où voulez-vous, en effet, qu’ils la mettent ? Ainsi, doux comme des gazelles, ils s’en vont par les belles avenues sans nom et sans maison de la future station « . (Albert Londres) Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat – 1922 Hôtel Londres, Albert Moï


AP3503-Bonnet-284


AP3503-Bonnet-284

Titre : Annam, Dalat, 1929 – Villa « Cochinchine »

Notice : La villa « Cochinchine » servait de résidence de repos aux hauts fonctionnaires français. (Voir aussi AP0102 et AP3895). Notule : Ville de Dalat Dalat se trouve à 1.475 mètres d’altitude. C’est le chef-lieu de la province du Haut Donnaï, situé sur le plateau du Lang Bian. C’est en 1897 que ce plateau fut visité pour la première fois par le Dr Yersin, sous le gouvernement de Paul Doumer. C’est grâce au gouverneur général Roume qui y affecta les crédits nécessaires en 1917 que Dalat put commencer à se développer. Le gouverneur général Sarraut donna aux travaux une impulsion nouvelle en 1918, et le gouverneur général Long décida de construire le chemin de fer, depuis longtemps prévu, qui, reliant Dalat à la côte, favoriserait l’essor de la station, en promettant d’amener, à meilleur compte que les routes, les approvisionnements et les matériaux nécessaires. Cette ligne part de la station de Tourcham (voir AP3495). Aujourd’hui, on trouve à Dalat des hôtels (voir AP1890) possédant le confort moderne qui peuvent recevoir 350 personnes ; des villas coquettes et propres (voir AP0425, AP0503) sont disséminées au flanc des collines herbeuses, ornées de bosquets de pins, en vue des pics volcaniques du Lang Bian qui se dressent à 2.200 mètres. Dalat est actuellement la station la mieux aménagée de l’Indochine. Les touristes peuvent pratiquer la promenade à cheval ou à pied dans les environs de la station, le service des forêts ayant su tracer et aménager avec un grand sens du pittoresque les sentiers et les chemins (voir AP0111). Les plateaux des environs, très giboyeux, sont actuellement le meilleur terrain de chasse de l’Indochine (tigres, panthères, éléphants, bœufs sauvages, cervidés, faisans, etc.). Bien que Dalat se trouve seulement à 12° au-dessus de l’équateur, son climat bénéficie de l’altitude qui assure à sa température une agréable fraîcheur. L’insolation et la luminosité sont remarquables ; l’air est pur, vif et excite l’appétit. La persistance des brouillards est très rare, et la brume disparaît au lever du soleil. De novembre à avril, le thermomètre peut descendre la nuit sur le plateau du Lang Bian jusqu’à 10° seulement au-dessus de 0, et même moins mais le froid est alors très sain, car c’est dans cette période que l’humidité atmosphérique est la moins grande ; d’ailleurs, la moyenne de ces mois d’hiver reste de 20° environ. Les vents dépendent des saisons, comme partout en Indochine ; mais, tandis que de novembre à janvier la côte d’Annam peut subir de violents typhons et des pluies torrentielles, le Lang Bian, très généralement, jouit alors d’un temps délicieux et calme. Dalat a un climat plus tempéré que Cha Pa et il convient à des catégories plus nombreuses de convalescents. Un médecin de l’Assistance est affecté en permanence à Dalat. Un hôpital est actuellement en construction qui comprend un pavillon pour les malades européens et deux grands pavillons en bois pour les indigènes avec une salle d’opérations. Dalat possède en outre son lycée, le lycée Yersin, qui compte déjà plus de cent élèves et doit se développer progressivement. Il est possible qu’elle devienne la capitale d’été de l’Indochine, comme Simla dans l’Inde, ainsi que le prévoyait M. Doumer dès 1898. (Extrait de « L’Indochine Moderne » 1931 – Teston et Percheron – Librairie de France)
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1929 – février Habitat colonial


AP3499-Bonnet-280


AP3499-Bonnet-280

Titre : Annam, Dalat, 1929 – Le Lac

Notice : Extrémité occidentale du Lac de Dalat (lac de barrage sur le Cam Ly). On aperçoit à gauche la digue formant barrage. Au centre on retrouve le Club Nautique (La Grenouillère). (Voir AP0102 et AP3895). Sur Dalat (Annam), voir AP3503.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1929 – Février Paysage – Lac


AP3498-Bonnet-279


AP3498-Bonnet-279

Titre : Annam, Dalat, 1929 – Le Lac – Les 2 pics du Lang Bian

Notice : Vue sur le lac de Dalat, le Club Nautique (La Grenouillère). A l’arrière-plan les deux pics du Lang Bian (le petit et le grand – 2163 m). (Voir AP0102 et AP3895). Sur Dalat (Annam), voir AP3503.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1929 – Février Paysage – Lac


AP3895-Guioneau


AP3895-Guioneau

Titre : Annam, Dalat, 1936 – Vue sur le lac

Notice : Notule : Le plateau du Lang Bian et ses voies d’accès Dès son arrivée dans la Colonie, le gouverneur général Paul Doumer fit faire des recherches dans les différents pays de l’Union en vue de l’établissement d’un sanatorium civil et militaire. Ce furent les explorations effectuées dans le Sud-Annam qui donnèrent les meilleurs résultats. Au nord du parallèle de Phan Rang, la chaîne annamitique s’élève en certaines parties jusqu’à des altitudes de 2.000 à 2.500 mètres ; elle présente du côté de la mer, dont elle s’écarte peu, un versant abrupt et, par contre, du côté de l’intérieur, elle s’abaisse, par des déclivités beaucoup plus adoucies comportant des plateaux de 1.500 et de 1.000 mètres d’altitude environ. Cette région constitue la haute vallée du Donnai. Le Docteur Yersin, qui dirigea 1’exploration de cette région, proposa immédiatement pour établir le sanatorium, le plateau le plus élevé dont la côte moyenne atteint 1.500 mètres. Le plateau du Lang Bian se trouve à moins de 100 kilomètres de la côte d’Annam et environ 250 kilomètres de Saïgon. C’est un plateau déboisé de 400 kilomètres carrés, auquel on accède du sud en traversant de vastes forêts de pins ; l’écoulement des eaux se fait facilement sur ce sol qui se relève en pente très douce, jusqu’à un massif montagneux qui le limite au Nord. Voies d’accès. Des études primitivement entreprises pas les capitaines Thouars et Bernard avaient fait ressortir la possibilité de construire une route directe de Saïgon à Dalat par Djiring en suivant la vallée de la Lagna. Malheureusement à cette époque, les projets d’établissement du sanatorium du Lang Bian furent écartés au moins provisoirement, et cette route ne fut pas entreprise. Aussi en 1905, M. Outrey, Résident du Haut-Donnaï, dont la résidence était Djiring, préconisait-il un nouvel itinéraire reliant directement Djiring à la gare de Phan Thiet / Ma Lam. Ce tracé réduisait à 90 kilomètres la distance de Djiring à la voie ferrée. Cette considération qui alors paraissait primordiale fit abandonner le tracé de Djiring à Saïgon par la vallée de la Lagna et seules, furent retenues les deux voies d’accès routières qui, partant de Dalat, ont d’abord un tronc commun descendant du plateau de la cote 1.500 à la haute vallée du Donnaï, à la cote 1.000, et là, se séparent pour se diriger l’une, vers Phan Rang par Dran et Krong Phu, l’autre sur Phan Tiet, par Djiring et Ma Lam. Les travaux furent commencés aussitôt le long de ces deux itinéraires. Après de nombreuses périodes d’arrêt et de reprise , et des rectifications partielles de tracé, ces itinéraires sont devenus, actuellement, les deux routes coloniales N° 11 et 12, de Tourcham à Dalat, et de Phan Thiet à Dalat. D’autre part, le chemin de fer d’accès au Lang Bian dont la construction avait été prévue dès l’origine, figurait dans la loi du 25 décembre 1898 autorisant le Gouvernement général de l’Indochine à contracter un emprunt de 200 millions de piastres. La loi prévoyait, en effet, la construction d’une voie ferrée de Saïgon à Khanh Hoa avec un embranchement se détachant vers Phan Rang pour desservir le Lang Bian. (A.A. Pouyanne – Les Travaux Publics de l’Indochine – IDEO – 1926) Sur le programme ferroviaire de 1898 de Paul Doumer, voir AP1396. Sur le chemin de fer de Toutcham à Dalat, voir AP3495 .
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1936 Lac

AP3501-Bonnet-282


AP3501-Bonnet-282

Titre : Annam, Dalat, 1929 – Villa de la Société des Dragages – Groupe

Notice : Nom complet et officiel : Société des Dragages et Travaux Publics d’Indochine. Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1929 – Août Habitat colonial


AP3505-Bonnet-286


AP3505-Bonnet-286

Titre : Annam, Dalat, 1929 – Tour d’Inspection – Kiosque et vue sur les pics

Notice : Sur le Tour d’Inspection, divers kiosques permettaient de se reposer en admirant les environs et, comme ici, les deux pics du Lang Bian. (Voir AP3504). Sur la ville de Dalat, voir AP3503.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dalat 1929 – Septembre Forêt Paysage- Kiosque


AP3520-Bonnet-301


AP3520-Bonnet-301

Titre : Annam, 1929 – Hauts plateaux – Concession O’Neil-Ancel

Notice : A la sortie sud de Dalat la RC 20 se dirige vers Saïgon (environ 300 km). Au début de cette route il y a plusieurs concessions et exploitations anciennes, dont celle de la famille O’Neil-Ancel.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï 1929 – Février Concession – Plantation Planteur

AP3497-Bonnet-278


AP3497-Bonnet-278

Titre : Annam, Dran, 1927 – Hauts Plateaux moï – Gare en construction

Notice : Construction d’une gare (sans doute celle de Dran) sur la voie ferrée de Tourcham à Dalat. Entre Krong Pha et Dalat, la voie ferrée comportait les six haltes de Kabeu, Bellevue, Dran, Arbre Broyé, Entrerays et le Bosquet. Deux montagnardes portent des matériaux dans des paniers suspendus à un fléau. Sur le chemin de fer de Tourcham à Dalat, voir AP3495.
Mots Clefs : Annam Haut-Donnaï Dran 1927 Travaux publics – Gare

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